Partenariat
Team Cepac
La TEAM CEPAC
En vue des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, la CEPAC poursuit son engagement envers les sportifs en rejoignant le « Pacte de performance », un dispositif national lancé par le Ministère des Sports, qui vise à accompagner les membres des équipes de France olympique et paralympique et à leur garantir un niveau de ressource nécessaire pour s’entraîner sereinement pour la prochaine grande échéance sportive de Paris 2024.
Pour la 3ème année consécutive, la CEPAC a décidé de soutenir une équipe de 7 sportifs, confirmés et espoirs du sport tricolore, issus de ses territoires en métropole et en outre-mer. Une Team CEPAC mixte et multisport dont nous sommes fiers :
Nouvelle recrue ! Kendra CHERY rejoint la TEAM CEPAC
Basketteuse originaire des Abymes en Guadeloupe, Kendra est âgée de 22 ans et a déjà plusieurs sélections en Equipe de France : championne d’Europe U16 et vice-championne du monde U17 en équipe nationale. Mais aussi vainqueure de la Coupe de France 2023 et championne de France 2019 et 2021.
Denis Gargaud Chanut, heureux comme un céiste dans l’eau
Pour Denis Gargaud Chanut, le canoë-kayak s’est imposé comme une évidence. « Parce que j’aime l’eau, s’enthousiasme-t-il. J’ai grandi à Marseille, à proximité de la mer et j’ai toujours voulu passer un maximum de temps dans l’eau ». Suivi par la Caisse d’Épargne CEPAC, il découvre le canoë-kayak grâce à ses cousins qui le pratiquent régulièrement. « J’ai essayé et ça m’a vite passionné ». Il y a le goût de l’eau, les sensations que cela induit mais aussi l’effervescence de la compétition, le plaisir de se confronter et de batailler avec des concurrents. « Progressivement, j’ai pris du plaisir à progresser, à me fixer constamment de nouveaux objectifs et à vouloir viser plus haut ».
JO, Mondiaux, championnat d’Europe… Un palmarès en or
Le point de départ a lieu à ses 15 ans, lors du championnat de France cadet. Denis excelle, devient champion et exulte : « ce premier titre, c’était grandiose. J’étais passé par des émotions tellement fortes ! C’est là que j’ai commencé à me forger un mental et pris conscience que je pouvais faire quelque chose de grand dans la discipline. »
La suite de sa carrière lui donne raison : en slalom où il obtient le titre de champion du monde (2010), en C1 où il est également titré aux championnats du monde (2011), d’Europe (2011, 2018 par équipes, 2021) et à Rio où il obtient l’or aux Jeux Olympiques. « Gagner des titres, c’est jouissif, poursuit Denis. Même si je commence à être un peu nostalgique, je sais qu’il me reste encore un peu de temps pour gagner encore ». Dans le viseur, il y a les Jeux Olympiques de Paris 2024, « ma dernière occasion d’en profiter jusqu’au bout », « Après, ce sera fini », souligne-t-il.
La CEPAC, un accompagnement de tous les instants
Afin d’aller jusqu’au bout de cette carrière en or, Denis Gargaud Chanut peut donc compter sur le soutien de la Caisse d’Epargne CEPAC. Le céiste ne s’en cache pas : « pour pouvoir rester dans le sport de haut niveau, on a besoin du soutien d’entreprises privées parce que ce ne sont pas des disciplines avec lesquelles on peut vivre ». Il a donc intégré le Pacte de Performance et bénéficie du soutien de la Caisse d’Epargne CEPAC. « Certes, c’est un accompagnement pour assurer les dépenses du quotidien et celle de la pratique sportive mais pas seulement, explique Denis. Il s’agit aussi d’une belle histoire humaine, riche de rencontres et de soutien ».
Ce lien qui s’est créé au fil du temps avec les collaborateurs s’est notamment illustré de la meilleure des manières en octobre dernier à Marseille. La CEPAC avait en effet constitué une équipe qui rassemblait des athlètes valides et non-valides lors d’un beau moment de convivialité. Cette solidarité-là perdure tout au long de l’année, pour le plus grand plaisir de Denis. « Pour être performant, j’ai toujours eu besoin de me sentir soutenu et accompagné et c’est exactement ce que parvient à faire la CEPAC ».
Carlota Dudek – Le breakdance, moteur et révélateur
Elle se définit elle-même comme « zen et calme ». Mais sa danse offre un autre visage, beaucoup plus débridé, qu’elle qualifie de « dynamique » et « hyper explosif ». L’histoire de Carlota Dudek, accompagnée par la Caisse d’Épargne CEPAC, c’est celle d’une jeune femme bien dans ses baskets qui a trouvé dans le breakdance une façon de s’exprimer, de s’enthousiasmer au point d’y dédier sa jeune vie et de rêver d’émotions fortes au gré des compétitions. Pourtant, sa vocation est née « complétement par hasard ». La jeune Carlota suivait des cours de modern jazz et s’était initiée au judo. Surtout, elle avait l’habitude de faire des activités sur le temps scolaire, le midi entre les cours. C’est là qu’elle s’initie au break. « Lors du premier cours, j’ai appris un mouvement et ça a été un déclic ». La jeune femme découvre un univers, une ambiance aussi, le bonheur simple d’exécuter des mouvements dans un cercle, entouré par d’autres danseurs qui applaudissent et « apportent leur énergie ».
Les JO de Paris, « un moment historique pour le break »
Au fil de sa progression, Carlota se rend à ses premières compétitions. Il y a le Nothing Toulouse qu’elle dispute dès ses 13 ans. Puis les participations à la Battle of the year France, l’équivalent des championnats de France. Elle la remporte en duo en 2017. Ensuite, alors que la discipline devient olympique et est en plein boom, la jeune française signe une 3e place au championnat d’Europe puis s’illustre aux Jeux Olympiques de la Jeunesse en terminant 5e. « Tout a été si rapide que je n’ai pas vraiment eu le temps de me poser des questions et de regarder en arrière », s’amuse-t-elle. La recherche constante de nouveaux mouvements, les figures à maîtriser, les enchaînements à peaufiner… Les missions sont trop nombreuses pour s’attarder sur le chemin déjà parcouru.
Bientôt, il y aura l’événement d’une vie, les Jeux Olympiques de Paris, première olympiade pour le breakdance. « Ce sera un moment historique pour le break. Cela marque l’essor de notre discipline qui passe de culturelle à sportive. Tout change : la préparation physique, l’arrivée de sponsors et la pression aussi… ». Carlota a une idée très précise de ce qui l’attend pour être à son meilleur niveau le Jour-J. « Il faut arriver à rester concentrée sur sa danse, à ne pas oublier la dimension artistique et à continuer de prendre du plaisir ».
La CEPAC « m’a aidé à prendre mon indépendance »
Dans cette entreprise, elle peut compter sur le soutien de la Caisse d’Épargne CEPAC : « Lorsqu’ils m’ont sollicité pour faire partie de l’équipe, j’étais très heureuse, se souvient Carlota. Je suis la seule fille et la seule à représenter un sport olympique ‘nouveau’. Ça m’a aussi permis de réaliser que le breakdance entrait dans une nouvelle dimension ». La banque lui permet de « concrétiser ses efforts » et « d’en faire un métier à part entière ». « Ce soutien me permet de m’impliquer encore plus, d’être davantage structuré ».
Elle qui suit en parallèle des études en DUT Gestion d’entreprise a pu s’installer à Montpellier, aménager son emploi du temps : « Cela m’a aidé à prendre mon indépendance. J’en avais vraiment besoin dans ma danse pour gagner en maturité ». Pour elle, le lien avec la CEPAC « n’est pas uniquement du sponsoring, c’est une démarche d’accompagnement ». « Je sais que les collaborateurs sont là pour me soutenir. Ils sont toujours disponibles si j’ai besoin d’un conseil ». Par ce biais, Carlota peut se focaliser sur sa danse, sur ses progrès et, surtout, continuer à exprimer ce qu’elle a de meilleur.
Medhy Metella, la nage du bonheur
Dans les bassins où se disputent les plus prestigieuses compétitions de natation, c’est un nom qui revient avec insistance depuis des années : Metella. Il y a eu Malia la grande sœur puis Medhy, le petit frère, toujours en pleine lumière et accompagné par la Caisse d’Epargne CEPAC. Et puis il y a la mère d’origine guyanaise, Djamila, qui n’a quasiment jamais raté de compétitions de ses rejetons et qui a l’habitude de donner de la voix au bord des piscines.
« Un nageur de très haut niveau est comme un trader »
Alors, Djamila encourage ses enfants à plonger à leur tour. « Elle tenait absolument qu’on fasse de la natation », aime répéter Medhy Metella. Dans la fratrie, c’est l’aînée, Ismael, qui est la première à s’y initier. Malia a ensuite gravi les échelons et fait partie de l’âge d’or de la natation aux côtés de Laure Manaudou. Elle remporte l’argent aux JO d’Athènes (2004), est titrée à cinq reprises aux championnats d’Europe et autant aux championnats de France. Dans son sillage, il y a le petit dernier, Medhy, de dix ans son cadet. Grâce à sa grande sœur, il connaît les sacrifices et la longue route vers les compétitions prestigieuses. Il a envie de briller aussi et le corps taillé pour les exploits (1,91m). « Au début, j’étais attiré par le foot mais très vite, j’ai été attiré par la natation ». Et à force de longueurs, d’abord au club des dauphins de Toulouse (à partir de 2009) puis au Cercle des Nageurs de Marseille (en 2013), il gravit les échelons à son tour.
Aux côtés des meilleurs Français du moment, à l’instar de Florent Manaudou et Camille Lacourt en 4x100m nage libre, il devient champion du monde (2015) et vice-champion olympique (2016). Le Guyanais compte également quatre titres et neuf médailles aux championnats d’Europe. En individuel, il s’est distingué par une médaille de bronze en 2017.
Pourtant, son ascension a connu un arrêt brutal après une opération à l’épaule, en janvier 2020, qui l’a obligé à s’employer pour revenir au plus haut niveau avant Tokyo. « Après un an éloigné des bassins, je voulais surtout me battre pour retrouver le meilleur niveau et du plaisir. Sur ce plan, c’est réussi ». Mais pour y parvenir, il a fallu redoubler d’efforts et s’astreindre à un sacré rythme avec des entraînements 6 jours sur 7 et plus de 25 heures par semaine dans les bassins. Grâce à sa persévérance, Medhy est qualifié pour Tokyo où il accède aux demi-finales du 100 m papillon, un bel exploit après tant de parcours de reconstruction.
« Le soutien de la Caisse d’Epargne CEPAC m’est très précieux »
Pour Medhy, il est encore trop tôt pour évoquer Paris 2024, d’autant que le nageur est plus friand des actes que des promesses. Dans cette quête perpétuelle pour être le meilleur, il peut compter sur le soutien constant de la Caisse d’Epargne CEPAC. Le nageur fait partie du Pacte de Performance, lui permettant d’être accompagné par la Caisse d’Epargne CEPAC avec les prochains Jeux Olympiques en ligne de mire. « Nous n’avons pas des salaires de footballeur et cet accompagnement m’est très précieux. Il contribue à mes dépenses du quotidien et m’aide pour pouvoir être focalisé uniquement sur l’aspect sportif ».
Par ailleurs, Medhy en profite pour réfléchir patiemment à son après-carrière. « Il faut anticiper au maximum la ‘vie d’après’. Lorsqu’on est nageur, on vit dans une bulle, presque un monde parallèle et il est important de connaître d’autres univers. ». C’est aussi ce qui contribue à apprécier les rencontres avec les collaborateurs qui assistent parfois aux entraînements au Cercle des Nageurs. « Ça permet de découvrir d’autres sphères, d’autres rythmes de vie et c’est particulièrement enrichissant ».
Fabrisio Saïdy, un tour de piste pour tout donner
Ça a commencé sur les terrains de foot, là où le jeune Fabrisio aimait tant évoluer avec ses amis. Dans son couloir, à enchaîner les allers et les retours, il y a un constat implacable : le jeune Réunionnais est rapide, très rapide. Ce qui se passe sur les terrains se vérifie rapidement au collège où Fabrisio remporte les cross UNSS auxquels il participe. Forcément, ses résultats donnent des idées et le poussent, surtout, à approfondir dans cette voie. « La passion ? Elle vient de la performance. Gagner, cela procure des sensations uniques. Et on a envie d’y goûter à nouveau. »
« Mon entraîneur me dit ‘tu as fait un chrono de fou’ ! »
Cela se confirme « au fur et à mesure » dit-il, non sans conserver de l’humilité dans sa voix, juste en s’attachant aux faits : « j’ai été le meilleur Réunionnais, puis le meilleur Français puis dans le ‘top 3’ européen dans les catégories jeunes ». Cette progression l’a forcé à arrêter le football. « J’ai commencé par une saison en athlétisme et j’ai pris conscience que je pouvais avoir encore de bons résultats ». À ce moment-là, son entraîneur d’alors préconise de se spécialiser en 800 mètres.
Mais Fabrisio et son coach réalisent que ses temps de passage sur 400 mètres valent le détour. « Il me dit : ‘tu as fait un chrono de fou’ ! », se souvient l’athlète. « J’ai rapidement pris goût aux 400 mètres. C’est plus rapide, plus court, ça me correspondait mieux. ». Derrière cette analyse insouciante et les efforts qui vont avec pour atteindre le ‘top mondial’, il y a aussi un certain goût de l’effort. « Sur 400 m, tu te fais plus mal et j’aime cette capacité à surpasser la douleur et à repousser mes limites jusqu’au bout ».
« Si je peux concilier la pratique du haut niveau et les études, c’est grâce la CEPAC »
Sa progression l’oblige à quitter la Réunion en septembre 2018, direction l’INSEP. Moins d’un an plus tard, en Suède, il remporte son premier titre individuel et pas n’importe lequel : celui de champion d’Europe Espoir. « J’avais fait beaucoup de sacrifices en quittant la Réunion et j’étais vraiment heureux de pouvoir montrer à mes proches que c’était un bon choix de partir pour performer. ». Désormais, le rêve ultime est bien identifié : briller aux Jeux Olympiques de Paris 2024, où il espère s’aligner à la fois en individuel et en relais. Après une année 2019 marquée par les blessures, Fabrisio assure « tout mettre en place pour atteindre son meilleur niveau ». Au chrono, il faudra passer sous la barre des 44 secondes alors que son record s’établit à 45 secondes 79. « J’ai trois ans pour y parvenir », sourit-il, lui qui participe à des stages annuels, sous la houlette de Marie-José Pérec, aux côtés des potentiels finalistes français de 2024.
En parallèle, l’athlète poursuit ses études en Bachelor à la Sports Management School de Paris. « Si je peux concilier la pratique du haut niveau et les études, c’est grâce à la CEPAC », explique-t-il. La Caisse d’Épargne CEPAC le soutient en effet depuis deux ans. Fabrisio a intégré le Pacte de performance qui accompagne des athlètes jusqu’aux Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024. « Cela m’aide à me sentir en sécurité pour l’aspect financier et pour le quotidien. C’est une chance parce que ça me permet de m’entraîner avec l’esprit libre et tranquille. » La présence de Willem Belocian, spécialiste du 110 m haies – dans l’équipe est un atout. Surtout, c’est le soutien humain que Fabrisio affectionne le plus. « C’est vraiment bien de sentir qu’il y a des gens derrière toi, que tu dois te battre aussi pour eux. Plus j’ai de monde qui me soutient, plus je vais être fort sur la piste ! »
Clavel Kayitaré, arrête-moi si tu peux
Un tour de piste pour tout donner, s’enthousiasmer, respirer et donner un sens à sa vie. Clavel Kayitaré, athlète soutenu par la Caisse d’Épargne CEPAC, a fait de la piste un exutoire et un réceptacle d’émotions. « J’ai toujours voulu aller plus loin, pousser mon corps dans ses retranchements, me mettre debout et gravir des montagnes », explique ce jeune père heureux de 35 ans. Derrière le sourire, la douceur et les certitudes, il y a les souffrances de l’enfance.
Les Jeux de Sydney, la révélation
Clavel est né au Rwanda et a vécu le génocide. Au plus fort d’un des conflits les plus violents et meurtriers des trente dernières années, il a 8 ans quand il est touché par les éclats d’une grenade. Le cartilage de croissance de sa jambe gauche est touché. Il faut l’opérer, réaliser un suivi, faire des soins et c’est en France que Clavel suivra toute cette rééducation. Le futur athlète subit plus d’une vingtaine d’opérations et connaît par cœur les couloirs de l’hôpital où il se rend régulièrement. S’il ne peut plus plier la jambe endolorie, le gamin rêve de sport, de tous les sports et notamment d’athlétisme, grâce à un éducateur au collège.
À ses côtés et avec d’autres camarades, il se rend à Sydney en 2000 pour les Jeux Olympiques et Paralympiques. Un rêve éveillé, une plongée dans un monde unique pour une certitude : l’envie d’être comme eux, de porter un jour les couleurs de la France dans les stades les plus prestigieux. « J’avais les yeux écarquillés en les voyant, se souvient-il. Dans l’avion du retour, j’avais même pu échanger et demander des conseils à plusieurs sportifs ». Quelques années plus tard, certains deviendront ses coéquipiers en équipe de France et tous s’amusent encore de cette première rencontre. Car Clavel est rapide, capable d’égaler les valides au collège et au lycée.
Une médaille aux Mondiaux dès ses 16 ans
Progressivement, il monte les échelons, intègre donc la délégation nationale et participe aux plus grandes compétitions. De ces années au plus haut niveau, difficile de distinguer les souvenirs et de classer les grandes joies sportives. « Tous les podiums que j’ai pu faire m’ont marqué, abonde-t-il. Spontanément, je citerai mes deux médailles d’argent aux Jeux Paralympiques d’Athènes en 2004. Mais le plus fort en émotion, c’est ma première médaille au championnat du monde, à Lille en 2002. J’avais 16 ans : aucun autre athlète paralympique français n’était parvenu à être sacré champion du monde à cet âge-là ! »
Parce que le sport nécessite davantage de se projeter plutôt que de se remémorer des souvenirs, Clavel en a un comme objectif n°1 : les Jeux Paralympiques de Paris en 2024 où il aspire à s’aligner uniquement sur 100 m, la distance reine. Avec un tel objectif, le quotidien est déjà programmé avec les entraînements, les stages et les compétitions pour arriver aux JO dans les meilleures dispositions possibles. Il faut également composer avec la vie de famille, qui s’est agrandie en janvier dernier. Afin de contribuer à la stabilité et la sérénité, Clavel fait partie des sportifs accompagnés par la Caisse d’Epargne CEPAC et qui bénéficient du Pacte de Performance.
La CEPAC et l’importance de « se sentir soutenu »
« On ne se rend pas compte à quel point un sportif se nourrit des soutiens qu’il a et de ces aides qui lui permettent d’avoir l’esprit libre pour se focaliser sur ses échéances sportives, assure le sprinteur. Un sportif a besoin de beaucoup de soutien ». Clavel en profite pour organiser son emploi du temps, gérer ses entraînements, ses stages et ses compétitions quand elles sont loin de son domicile. « C’est une chance de pouvoir s’entraîner et tout donner sur la piste sans se demander comment on va manger le soir et comment on va assurer le loyer ».
Mais ce qui touche Clavel davantage, c’est la sensation d’appartenir à une équipe et, surtout, « de se sentir soutenu ». Cet automne, l’athlète a d’ailleurs participé à une course en faveur du handicap avec d’autres athlètes et des collaborateurs de la Caisse d’Epargne CEPAC. Cet état d’esprit est une source de motivation à part entière pour préparer et briller aux Jeux Olympiques de Paris avant d’envisager avec sérénité l’après-carrière pour celui qui est déjà animateur dans le Var.
Wilhem Belocian, les haies d’honneur
Goûter à quelques secondes de fièvre. Bondir des starting-blocks, propulser sa masse musculaire, enjamber les obstacles et goûter à la ferveur de la course jusqu’au dernier mètre. La vie du Guadeloupéen Wilhem Belocian, accompagné par la Caisse d’Epargne CEPAC, est dédiée à cette recherche de sensations fortes, à cet effort aussi brut que brutal, à ces quelques secondes à tout donner pour lever les bras et savourer. Chez lui, l’athlétisme est une seconde nature et une histoire de famille. Chez les Belocian, c’est le grand-père qui chaussait précédemment les pointes et ne comptait plus les tours de piste. « Il courait au 200m, 400m et parfois au 100m », s’enthousiaste Wilhem, avec le ton du gamin admiratif qu’il a toujours été.
Au 110m haies, sa carrière décolle
Alors, il lui a emboité le pas et, à son tour, n’a plus compté les tours de piste. À force d’abnégation et d’après-midi à en oublier les heureux autour des terrains, l’envie de se mesurer s’est faite plus importante. Et puis il y a eu un signe du destin. « Régulièrement, on faisait des matchs interligues entre les jeunes de Guadeloupe, de Martinique et de Guyane. L’équipe guadeloupéenne cherchait un athlète polyvalent pour le 200m haies. Ils ont pensé à moi ». Chez Wilhem, les mots sont simples et tout sonne comme une évidence. « Je me suis beaucoup entraîné, j’y suis allé et j’ai gagné. Depuis, j’ai toujours eu envie de faire ‘des haies’ ».
Au fil des mois et des compétitions, le sprinteur se spécialise en 110m haies et voit sa carrière décoller. En 2014, il obtient le titre de champion du monde junior et le record du monde qui va avec. L’année suivante, dès sa première sélection avec l’équipe de France sénior, il termine 3e des championnats d’Europe en salle derrière deux de ses compatriotes. « C’était un podium historique », souligne-t-il. Cette année, le sportif a été sacré champion d’Europe en salle et a retrouvé la fièvre des Jeux Olympiques. Disqualifié de sa série quatre ans plus tôt à Rio, il aborde ceux de Tokyo diminué et blessé et ne passera pas le premier tour.
La Caisse d’Epargne CEPAC, un soutien majeur
Les athlètes ne doivent pas seulement être performants sur le théâtre de leur exploit. Il faut surtout savoir se remettre en question, rebondir et renforcer toujours son moral. « Les Jeux Olympiques ? Bien sûr que ça a été dur et qu’il a fallu du temps pour s’en remettre. Mais je préfère retenir le positif et la saison dans sa globalité : le titre de champion de France en salle, mon record personnel… ». Ce qui aide à tenir, aussi, c’est la capacité à se projeter vers l’avenir. Et pour Wilhem, celui-ci est déjà connu : les Jeux Olympiques de Paris en 2024.
Dans ce long chemin vers l’événement le plus attendu pour tous sportifs, le coureur de haies peut compter sur le soutien de la Caisse d’Épargne CEPAC. Wilhem fait partie des athlètes du Pacte Performance et bénéficie à ce titre d’un soutien financier. « Cela m’aide à la fois à aborder ma carrière de sportif en toute sérénité mais aussi d’envisager l’après-carrière ». Concernant sa ‘vie d’après’, sa décision n’est pas encore arrêtée, même s’il se voit bien embrasser la vocation de kinésithérapeute. Pour lui, la Caisse d’Epargne CEPAC est « une véritable famille » qui « regroupe toute une diversité d’athlètes qui s’attachent à donner le meilleur ». Il a également pu rencontrer des employés de la Caisse d’Epargne CEPAC, à Marseille mais aussi en Martinique : « Ce sont des échanges particulièrement stimulants, où l’on trouve des points d’intérêts entre univers différent. C’est toujours très enrichissant ! ».
Le Pacte Utile, l’objectif d’être utile aux athlètes, aux territoires et à la société.
Partenaire Premium des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 et acteur historique du sport, la Caisse d’Epargne franchit une nouvelle étape en créant le Pacte Utile, un programme d’engagements pour faire de l’événement des Jeux Olympiques Utiles à Tous.
À travers cet engagement, la Caisse d’Epargne CEPAC entend promouvoir la pratique et les valeurs du sport. Elle affiche également l’ambition de participer et de contribuer aux apports positifs des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 pour la société française dans son ensemble.
Construction d’infrastructures, initiatives en matière sociétale, mais aussi volonté d’aider à la réalisation de Jeux populaires, inclusifs et en mesure de transformer la société dans le sens du mieux vivre ensemble : la Caisse d’Epargne CEPAC regroupe l’ensemble de ces mesures au sein de son Pacte Utile, un programme d’engagements pour faire de Paris 2024 des Jeux utiles à tous.